Retour au numéro
Faire la guerre : avec une constellation en orbite basse 5G ?
Vue 873 fois
01 juillet 2024
Faire la guerre : avec une constellation en orbite basse 5G ?
APPORT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES 5G ET DES CONSTELLATIONS ORBITE BASSE POUR LES OPÉRATIONS MILITAIRES.
À l’heure où l’Ukraine utilise les services de Starlink, notamment pour le C2 de ses drones et où le DoD US vient de notifier le contrat Starshield, publiant par la même occasion la « Commercial Space Integration Strategy », l’auteur remet en perspective l’apport des nouvelles technologies de connectivité, principalement 5G & constellation SATCOM LEO, et l’effet de levier qu’elles procurent aux armées françaises.
Je vous emmène en Méditerranée Orientale sur le Porte Hélicoptère Amphibie Dixmude. Nous sommes en 2027 dans une opération-fiction européenne commandée par un État-major Français.
Avec nos capacités interarmées permettant l’embarquement d’un état-major interarmées de 150 militaires, l’accueil d’aéronefs des trois composantes, l’évacuation de plus de 1 000 ressortissants, des fonctions hospitalières équivalentes à une ville de 50 000 habitants, le débarquement des troupes à terre via des...
Cet article est réservé aux abonnés à la revue
Auteur
MS DTC
I started my career in 2003 on board an anti-aircraft destroyer as energy officer, managing 45 sailors. My 17 years in the French Navy allowed me to climb fast while I alternated operational assignment on board warships and more thinking assignments in headquarters in Paris. My experiment is threefold : Operations at sea, future capability, and financial Investments/risks management. Voir l’autre publication de l’auteur(trice)
I started my career in 2003 on board an anti-aircraft destroyer as energy officer, managing 45 sailors. My 17 years in the French Navy allowed me to climb fast while I alternated operational assignment on board warships and more thinking assignments in headquarters in Paris. My experiment is threefold : Operations at sea, future capability, and financial Investments/risks management. Voir l’autre publication de l’auteur(trice)